ACTUELLEMENT FINALISTE AU PRIX LITTÉRAIRE FRANCE-QUÉBEC
On est complètement dans le monde d'aujourd'hui. Il y a ce matérialisme des émotions qu'a beaucoup cette génération et qu'on voit à l'oeuvre. C'est cinglant, ça frappe. On est dans un réalisme souvent brutal, mais auquel [le personnage d'Ariane] fait face et qui fait en sorte qu'au bout de ce voyage intérieur qu'elle va faire, elle va se retrouver pleine de vie.
On est complètement dans le monde d'aujourd'hui. Il y a ce matérialisme des émotions qu'a beaucoup cette génération et qu'on voit à l'oeuvre. C'est cinglant, ça frappe. On est dans un réalisme souvent brutal, mais auquel [le personnage d'Ariane] fait face et qui fait en sorte qu'au bout de ce voyage intérieur qu'elle va faire, elle va se retrouver pleine de vie.
JEAN FUGÈRE, Pourquoi pas dimanche?, Radio-Canada
Mélissa Verreault, journaliste au magazine Urbania, aime voyager léger. Elle le prouve dans ce premier roman tout en finesse. Une auteure à suivre...
Châtelaine
Une jeune femme s'apprête à partir en voyage pour prendre du recul face à sa relation avec son conjoint. À quelques mètres de l'avion, elle décide de changer de destination, nous entraînant dans un monologue intérieur extrêmement bien réussi. Une histoire remplie de tristesse, qui soulève des questionnements universels sur la vie à deux et l'amour.
Coup de pouce
Un roman qui oscille entre la quête identitaire et le devoir de bonheur, où l'écriture a un goût d'éternité. Soixante-neuf textes brefs très vifs, ponctués de confidences personnelles, d'instants subtilement ressentis et justement croqués, de réflexions existentielles, le tout dans une langue fluide, habitée, balayée par des traits d'humour fin. ARTICLE COMPLET ICI.
SUZANNE GIGUÈRE, Le Devoir
L'écriture aérienne est faite de petites touches de quotidien, de détails qui comptent et d'allers-retours entre le passé et le présent.
JOSÉE LAPOINTE, La Presse
Voyage léger est un blues, un mal de vivre et d'être, un désir de changer dans son corps et sa tête. Ce roman n'est pas sans rappeler l'atmosphère de Paul Auster où les personnages disparaissent dans leur ville pour se réinventer. Cette dérive douce nous ramène aux gestes essentiels de la vie. Une plongée qui permet de refaire surface plus loin, plus tard et de retrouver sa vie en étant semblable et un autre. Un mal d'être qui nous emporte dans le labyrinthe des villes et de l'esprit.
YVON PARÉ, Progrès-Dimanche
Grâce au rythme rapide, aux chapitres courts et à l’écriture créative et imagée de cette jeune auteure, Voyage léger s’avère une fort belle découverte.
Le Libraire
Un roman où l’on boit du thé, où les pensées se perdent dans de miteuses chambres d’hôtels, où les parfums traversent les vitres et où la lumière électrique du dimanche est un hymne à la nécessité des erreurs et à ce qu’elles entraînent comme découvertes, et où la génération de l’auteure y respire à son aise. ARTICLE COMPLET ICI.
VALÉRIE MATHIS, Le Délit
Article intéressant dans un blog intéressant. Merci de partager tout cela. Je suis vraiment contente d'être tombée sur votre blog. C'est un peu ce qui je cherchais dans ce domaine.
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