lundi 29 novembre 2010

LES BOUTEILLES DANS LES MÉDIAS


Je me suis perdue, ballottée entre vents et marées dans un phare sur le fleuve Saint-Laurent, égarée sur une plage du Sénégal, échappée belle dans une écriture entre poésie et senti, économie de mots et suggestions généreuses.
Josée Blanchette, Le Devoir

Avec finesse et sensibilité, Bouchard donne à lire un roman d'amour magnifique qui parle de promesses non tenues, de solitude et d'espoir, des besoins impérieux de l'un versus ceux de l'autre. Elle s'exprime dans une langue d'une douceur lumineuse qui contraste avec le cadre désolé imposé à ses personnages.
Ginette Bernatchez, Québec français

Sophie Bouchard saisit notre intérêt des les premières lignes de son histoire et ne lâche jamais prise. * * * *
Jean-François Crépeau, Lettres québécoises

L'univers des personnages du deuxième roman de Sophie Bouchard, Les bouteilles, est on ne peut plus clos. Dans un phare au milieu du fleuve, trois êtres se côtoient et se déchirent: Cyril, le gardien qui y veille depuis 25 ans, Clovis, qui a pour mission de l'automatiser, et son amoureuse Frida. Mais le mouvement des vagues et du monde ouvre la perspective de ce très beau livre, écrit avec beaucoup de délicatesse. Livre d'eau et de vent, éthéré et pourtant concret, Les bouteilles hypnotise et séduit.
Josée Lapointe, La Presse

Le roman ne touche pas le lecteur: il l'envoûte. Une narration charpentée avec dialogue entre le passé et le présent, un huis clos tendu dans un phare, un paysage maritime grandiose, un exotisme professionnel avec le métier de vigie maritime en passe de disparaître, une profondeur historique avec un regard aigu sur un continent mal aimé. Enfin, une écriture économe, posée, qui ne refuse ni le lyrisme, ni le cri terrifiant, ni la douceur d'un murmure chuchoté. Les Bouteilles, deuxième fiction de la romancière de Chicoutimi, nous habite longtemps.
Suzanne Giguère,
Le Devoir
Lire la critique ICI

L'auteure parvient à créer des parallèles sensibles entre le rôle d'un phare, celui d'éviter les naufrages, et les déroutes des personnages.
(...) et ça peut donner franchement envie de lancer son cellulaire à la mer.
Julie Laferrière,
Club social, TV5
Voir le topo ICI

Un livre à boire jusqu'à l'ivresse.
Shannon Desbiens, Le Libraire

Si vous n'avez qu'un livre à lire, n'hésitez surtout pas et prenez celui-là.
La Peuplade a le don de dénicher des auteurs aux plumes sensibles et humaines pour « peupler le territoire ». Il va sans dire que la prose de Sophie Bouchard ne fait pas exception à la règle avec Les bouteilles.
Rachel Gamache, Primeurs

L'univers marin est plus présent que jamais dans Les bouteilles. La mer devient un personnage qui rythme les jours et les nuits, tord les êtres dans leur solitude. Un univers de fureur et de silence.
Une écriture haletante, épousant les vagues qui butent contre le phare et imposent la cadence.
Un roman enlevant, dense et particulièrement fascinant.
Yvon Paré, Le Progrès-Dimanche

En retranscrivant les pas de chaque personnage comme autant de traces laissées dans le sable, Sophie Bouchard dépeint habilement l'espoir des hommes brisé par la mer.
Sylvain Sarrazin, Entre les lignes (vol.7, no.2)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire